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FOXY BRONX

100% BLAXPLOITATION & SUPERBAAAD ACTION

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ellam inba mayam

James Batman (1966 Artemio Marquez) : A défaut de pouvoir concourir au titre de la plus fidèle adaptation au cinéma des aventures du célèbre justicier masqué, James Batman pourrait largement s’illustrer dans la catégorie des meilleurs films de super héros dingos. Cette curiosité bis complètement fauchée, mais oh combien inventive, est la réponse bonne enfant des philippins au succès remporté par la fameuse série américaine des années soixante.

Une belle ambiance crépusculaire, un érotisme sous-jacent, et une galerie de méchants bien psychédéliques, viennent servir une intrigue à l'esprit très sérial, où l’humour potache (voir par exemple la scène où Batman perd son collant) et les péripéties cartoon se disputent joyeusement les plus belles parts du gâteau. Vivement recommandé...

Une belle ambiance crépusculaire, un érotisme sous-jacent, et une galerie de méchants bien psychédéliques, viennent servir une intrigue à l'esprit très sérial, où l’humour potache (voir par exemple la scène où Batman perd son collant) et les péripéties cartoon se disputent joyeusement les plus belles parts du gâteau. Vivement recommandé...

james batman

IT’S A MAD MAD WORLD

DRUGS FROM AFRICA   BENGAL BABES

BEATNIK BROTHEL  MAHORANI LAGOON

Ellam Inba Mayam (1981 CN Rangarajan) : nous avions déniché cette petite merveille des années auparavant, sur un obscure VCD malaysien, et n'avions pas pu résister à l'envie de vous faire partager cette incroyable chorégraphie tamoule. Ce clip, qui reste aujourd'hui le titre le plus visionné chez nous, a depuis été recopié sur plus d'une cinquantaine de sites et blogs (incluant YouTube), qui ont tous repris à leurs comptes les délires de la Solla Dance. Ce numéro musical inénarrable, extirpé de la Tamil comédie Ellam Inbam Mayam comporte une succession d'entrechats mémorables exécutés par un étrange tamoul afro psychédélique, qui se livre ici à une chorégraphie joyeusement inspirée du dindon, et à quelques effets de style funky-dingos qui aurait pu rendre vert de jalousie toute une armée de Dolemite sous acid. En cerise sur le gâteau, vous noterez également au passage, les mimiques assez étonnantes d’un sosie de Benny Hill, à 1mn58s de cet extrait.

Comédie assez crétine,Ellam Inba Mayam comporte plusieurs autres numéros humoristiques nettement plus classiques. On notera aussi de façon plus anecdotique un combat dans un entrepôt, avec un vilain borgne à rouflaquettes proéminentes, et la courte apparition d‘un faux Dracula d‘opérette.

 

A few words about the Solla Solla success : it is incredible to see that this video is now everywhere around the web (thanks YouTube). We found this gem years ago on a rare malaysian VCD, and then we decided to show it, because we wanted to tell the world that this tamil artist is probably one of the craziest alien who ever walked the earth. Since this time more than 50 blogs had already copy our link, and made a hit with this crazy footage...

solla solla enna perumai
ogon batto
shouken meley dee

Shouken Meley Dee (197? Haider Chaudhary) : Comme on pourra le voir par la suite, dans cette rubrique mondo pulp, en matière de cinéma pakistanais, Shouken Meley Dee est loin de détenir la palme d’or du nanar psychotronique, malgré quelques étripages et carnages bien violents, que l’on jugera somme toutes assez banals dans l’histoire tourmentée du cinéma d’exploitation du Penjab.

Si Shouken Meley Dee mérite sa place ici, c’est finalement au rayon des curiosités grotesques, pour son interlude Nachni Jindri Nachni, une des scènes musicales les plus étranges, qu’on ai jamais filmé à Lollywood, avec une bande de nains sadiques en slip. A vous d’en juger, mais vous êtes prévenu, certains ne s'en sont jamais remis…

Ogon Batto (1966 Hajime Sato). Golden Bat est le tout premier super héros nippon, créé dans les années 30 aux Japon par Takeo Nagamatsu, puis décliné dans les sixties sous la forme d'un manga, de deux longs métrages (Golden Bat & Return Of The Golden Bat), et également d'un dessin animé, avant de revenir un peu plus tard sous une forme parodique en 1972, avec The Golden Bat Shows Up. Dans le film qui nous intéresse ici, une expédition menée par Sonny Chiba découvre le sarcophage du Golden Bat en question dans les ruines d'une antique citée perdue, quelque part au fin fond de l'espace. Pendant ce temps là, la terre est menacée par un astéroïde, que le méchant de service, une sorte d'ours en peluche version trash (avec des pinces), a fait dévier de son orbite. Golden Bat est ressuscité à temps par nos vaillants astronautes, et ça tombe plutôt bien, car lui seul pourra sauver la terre. Comme dirait l'autre, c'est que pour les petits n'enfants...

 

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